Voila ce qu'a mis Piero le druide de la Scud,à ce propos sur Facebook, ce matin.
Pour votre information, je porte à votre connaissance ces éléments de réponse de l'antenne parisienne de la FFMC (PPC) :
"Un petit mot pour tenter de désamorcer la situation et surtout expliquer clairement ce qui se passe.
Je vous propose ce petit décryptage simple :
À la suite des recours des associations «Respire», «Raslescoot» et «Paris sans voiture» qui se disent écologistes, mais qui sont en réalité des associations anti-moto et anti-voitures, le juge des référés du Conseil d’État, SUSPEND le premier décret 9 août qui instaurait le CT et qui souvenez-vous, avait mis le feu aux poudres et nous avait fait descendre dans la rue. À la suite de ça, Macron avait exprimé sa volonté de ne pas imposer le CT. C’est à ce moment que la FFMC avait entamé les séances de travail avec la FFM et le ministère des Transports.
Cette suspension est due au fait que le décret prévoit la mise en place du C.T. en janvier 2023, alors que l’Europe, le voulait pour janvier 2022.
Vu que janvier 2022 est passé et qu’il n’y a pas officiellement d’alternatives proposées, le juge demande à ce que le C.T. soit mis en place en octobre 2022.
Chose techniquement impossible, évidement…
Alors, maintenant, qu’est ce qui se passe ? Et bien la FFMC attend le remaniement ministériel, afin de connaître la nouvelle ou le nouveau ministre des transports, pour terminer le boulot et faire en sorte que le décret, qui est déjà formulé et en attente, soit enfin promulgué.
Promulgation que nous attendons depuis plusieurs mois et qui, d’après le député/motard Sacha Houlié qui a travaillé de concert sur ce dossier, est au-dessus de la pile.
Donc, en fait, pas grand-chose de nouveau, mis à part cette décision du juge qui retoque une partie d’un décret qui de toutes façons est déjà prévu d’être annulé par celui à venir.
En espérant évidement que le gouvernement tienne parole après le remaniement. On devrait connaître les nouveaux ministres avant vendredi…"
Il est urgent d'attendre et de rester mobilisé pour plus tard.